Le jean slim
**Améliorations de la 2e génération : **
- Tissu plus élastique pour plus de confort
- Coupe ré-ajustée à la taille, aux hanches et sur les jambes pour une vraie coupe slim
- Taille légèrement remontée en dessous du nombril
- Nouvelle teinture noire pré-délavée, pour donner plus de texture et pour éviter que le jean ne “marbre” lors du lavage en machine
Un jean en coton bio qui fait son boulot de slim (bien souligner les fesses et les jambes), et qui reste confortable avec ses grandes poches et sa taille qui remonte jusque sous le nombril. Mais surtout, c’est un slim qui va rester slim : le tissu est de très bonne qualité et ne se détendra pas avec les portés. Et on l’a délavé en usine : ça vous évitera les marbrures blanches en sortie de machine et ça lui donne (déjà) une jolie patine.
Certaines tailles de ce jean sont en rupture et la date de retour en stock est assez lointaine. Nos clientes de longue date sont habituées mais pour celles qui nous ont récemment rejoint, voici l'explication : ce modèle étant une nouvelle génération, nous attendons vos retours pour ajuster la coupe et les finitions avant de repasser commande. Si votre taille n’est pas disponible, cliquez sur "S'inscrire à l'alerte" et vous recevrez un message dès qu’elle sera de retour.
Détails techniques
Tissu :
- 98% coton bio (GOTS), 2% élasthanne pour le confort
- Le tissu vient de chez Candiani, maison italienne réputée pour ses denims haut de gamme et ses pratiques environnementales pionnières
- Environ 450g/m2 (13,5 oz) : un tissu un peu plus épais que la moyenne, pour qu’il se tienne bien et résiste aux trous aux genoux. Résultats de résistance contre laine abrasive : 80 000 cycles avant apparition de trous
- Tissu assez souple et peu rugueux pour retarder l’apparition des trous à l’entrejambe, liés aux frottements du tissu contre lui-même (cuisse contre cuisse ou cuisse contre fesse). Résultats de résistance tissu contre tissu : plus de 280 000 cycles avant apparition de trous, au-dessus de tous les autres du marché qu’on a testés.
- Tissu avec une très bonne résistance à la détente : déformation résiduelle de 0 % à nos tests
Coupe :
- Coupe slim, ajustée sur les fesses et les jambes
- Taille moyenne, qui remonte jusqu’en dessous du nombril
- Grandes poches
- Longueur intermédiaire (entre 30 et 32) : si vous le trouvez trop long, vous pouvez le replier ou faire un ourlet
Et le reste :
- Double teinture, sur fil et sur tissu
- Pré-délavage en usine : cela donne une patine au jean, cela évite de découvrir des marbrures blanches en sortie de machine à laver et pas de risque qu'il rétrécisse chez vous
- Zips YKK, coutures renforcées sur l’intérieur des cuisses, ourlet en point de chaînette, points d’arrêt sur les zones de tension, ceinture renforcée avec thermocollant
Pays de fabrication
Pour ne pas vous noyer sous les informations, on ne met ici que les usines des 5 principales étapes de fabrication d'un vêtement : matières premières, filature, tissage/tricotage, teinture/finissage, confection.
- Coton : Ouganda/ Tanzanie
- Teinture, tissage et ennoblissement : Italie
- Confection : Portugal
Pourquoi confectionner au Portugal et pas en France ?
Bien sûr, produire au Portugal nous permet de vendre moins cher. Mais c’est aussi plus facile d'y faire de la bonne qualité : dans les années 80 quand la France a délocalisé son industrie, le Portugal a renforcé la sienne. Il n'empêche que d’autres que nous arrivent à faire de très bons jeans 100% made in France, comme 1083.
Pourquoi le coton vient de si loin ?
Le coton pousse plutôt dans les zones tropicales, c’est pour ça qu’il vient toujours d’assez loin. Si quelques irréductibles gaulois arrivent à en faire pousser dans leur champs, la culture du coton est marginale en Europe.
Comment ce produit va vieillir
Comment on le sait ? On demande à nos clients et clientes leur avis sur le produit un an après l'achat. Et si le produit a moins d'un an, on vous donne nos prédictions grâce à certains retours spontanés et à notre expérience sur des produits similaires.
Ce jean devrait très bien résister : particulièrement, la décoloration et la détente seront très limitées. Le tissu est aussi résistant aux trous - mais résistant ne veut pas dire increvable. Alors avis aux adeptes du vélo, aux jeunes parents et à toutes celles dont le quotidien met leurs pantalons à rude épreuve : si vous voyez une trace d’usure apparaître à l’entrejambe, aux genoux ou sur les fesses, emmenez-le vite chez le retoucheur, il vous réparera ça pour quelques euros.
Impact environnemental
Cet impact est calculé avec la méthode de l'affichage environnemental français (en cours d’expérimentation).
Le jean slim a un coût environnemental de 1232 points, selon la méthodologie officielle de l’affichage environnemental textile. C’est ce que sa fabrication “coûte” à la nature, quand on regarde son impact sur le changement climatique, l’acidification des océans, sa toxicité pour l’eau douce, etc.
Par comparaison, un vêtement de poids équivalent, 100% coton conventionnel, fabriqué au Bangladesh et vendu par une marque de fast fashion, a un coût environnemental de 4360 points.
Pourquoi cette différence ? Voici les principales raisons :
- Les pays de production : fabriquer au Portugal ou en France nécessite moins d’énergies fossiles qu’au Bangladesh (un des principaux pays producteurs de vêtements low cost). Résultat : cette fabrication plus locale limite les impacts sur le changement climatique, l’acidification des océans ou l’épuisement des ressources.
- La matière : le coton bio a un impact environnemental assez faible comparé à la matière coton conventionnel, notamment car il utilise peu de pesticides (donc faible toxicité pour l’eau douce) et qu’il est biodégradable (donc moins de problématiques de micro-fibres ou de déchets en fin de vie).
- La durabilité : les enseignes de fast fashion incitent à l’achat notamment en renouvelant très rapidement leurs collections et en proposant de très nombreuses références, et elles découragent de réparer en pratiquant des prix dérisoires. Cela augmente donc le nombre de vêtements vendus par personne et diminue le nombre de fois où un vêtement est porté. À l’inverse, chez Loom, nous avons choisi d’avoir des pratiques commerciales qui encouragent nos clients et clientes à garder leurs vêtements le plus longtemps possible.
- Les invendus : en France, les enseignes de mode ont en moyenne 4% d’invendus (source ADEME). Comme nous ne renouvelons pas nos collections, nous n’en avons quasiment pas.
Même si on a tout fait pour qu’il soit le plus faible possible, l’impact environnemental de ce produit n’est pas négligeable. Donc avant d’acheter, faites durer vos vêtements le plus longtemps possible.
Calcul effectué par Loom le 23/12/2024 sur l'outil Ecobalyse. Cliquez sur les liens ci-dessus pour accéder aux simulations et avoir plus de détails sur les hypothèses retenues.
01.
Un beau slim - sans détente ni décolo
Pour ce jean, on a développé une coupe slim classique (si vous l’aimez moins ajustée, jetez un œil à notre jean droit) qui remonte un peu en dessous du nombril, dans un tissu confortable (grâce à sa pointe d'élasthanne). Bonne nouvelle numéro 1 : il ne se détend quasiment pas - c’est sans doute ce qui fait que vous le garderez longtemps. Bonne nouvelle numéro 2 : on a fait le gros du délavage à l’usine - ça donne du caractère au tissu et ça évite les marbrures blanches quand vous le sortez de votre machine.
02.
Le remède contre les trous n’est pas celui que vous pensez
Les jeans trouent généralement à deux endroits. Soit à l’entrejambe, quand les cuisses frottent l’une contre l’autre : pour contrer cela, mieux vaut éviter les tissus trop rugueux et leur effet “papier de verre”. Soit aux genoux, quand le jean frotte contre le sol : il faut donc un tissu assez résistant. On a donc choisi un denim italien de chez Candiani solide (environ 13,5 oz) mais plutôt lisse. Résultats ? En tests laboratoire, ce jean résiste mieux aux trous que tous les autres qu’on a testés.
03.
De vraies poches
On ne compte plus les articles qui comparent les poches des vêtements des femmes à celles des hommes. Et le verdict est unanime : la plupart du temps, nos poches ne nous permettent pas de ranger nos téléphones, nos clefs ni même nos mains. Sur ce jean, les poches sont des vraies poches, dans lesquelles on peut vraiment ranger des trucs (et pas que des pièces de monnaies).
04.
Tout ce qui fait un bon jean
Sur ce jean, il y a : un bouton et des rivets métalliques, un zip YKK, des doublures de poches solides, des coutures renforcées sur l’intérieur des cuisses, un point de chaînette au niveau de l’ourlet, des points d’arrêts un peu partout où ça tire, une ceinture renforcée avec un thermocollant. Ces détails incroyables vous les retrouverez uniquement chez nous sur la plupart des jeans du marché. Oui on n’a pas fait mieux, mais à quoi bon réinventer la roue ?
05.
C'est beau, c'est bio
Le gros problème écologique du coton dit "conventionnel", c'est qu'il consomme énormément de pesticides et engrais de synthèse, un drame pour la biodiversité et les agriculteurs (et agricultrices). Pour ce jean, nous utilisons du coton bio certifié GOTS, cultivé en agriculture biologique (et on explique pourquoi ici). On s’est aussi assuré qu’il soit inoffensif pour votre peau : le tissu est certifié OEKO-TEX et on le lave avant de vous l’envoyer.
Nous publions tous les avis, qu’ils soient bons ou moins bons.
Quand demandez-vous des avis aux clients ?
On vous envoie une demande d’avis un mois après la réception de votre commande. On estime que c’est le minimum de temps nécessaire pour avoir porté et lavé un vêtement plusieurs fois et se faire vraiment un avis éclairé. Ensuite, tous vos avis sont publiés dans la semaine, qu’ils soient bons ou non.
Est-ce que vous demandez des avis sur 100% des produits commandés par les clients ?
On le faisait au début, puis on s’est rendu compte qu’on commençait à envoyer beaucoup trop d’emails à certaines personnes qui achètent régulièrement chez nous. Bref, on spammait un peu. En plus, ça commençait à nous prendre vraiment beaucoup trop de temps dans l’équipe de répondre aux avis - puisqu'on veut répondre individuellement en privé à presque chaque personne qui nous laisse un avis. Aujourd’hui, on ne demande plus d’avis sur les produits qui répondent aux deux critères suivants : 1/ Il y a suffisamment d’avis affichés sur le site pour que les personnes qui souhaitent acheter puissent se faire une opinion éclairée sur le produit 2/ Nous avons lu dans l’équipe Loom suffisamment d’avis pour comprendre comment faire évoluer le produit à la prochaine génération.
Minute papillon : qu’est-ce qui prouve qu’on ne modifie pas les avis en mettant des 5 étoiles partout ?
Honnêtement : rien, on vous donne juste notre parole. Comme pour le reste d’ailleurs : où on fabrique, d’où vient notre laine, la note de nos tests labos, etc. Les seules fois où on pourrait toucher à ce que vous écrivez, c’est si votre message contient des fautes d’orthographe (et encore y en a pas mal qui nous échappent) ou s’il est à caractère raciste, homophobe, etc (mais ça n’est jamais arrivé pour l’instant).
Demander un avis au bout d’un mois, ce n’est pas assez pour savoir si les vêtements sont vraiment durables, non ?
Vous avez raison, c’est pour ça que depuis mi-2020, on vous repose la question un an après votre achat, en vous demandant même une photo pour voir comment votre vêtement a vieilli. Pour l’instant, ces infos nous servent seulement à améliorer nos vêtements pour la prochaine génération, mais nous comptons bientôt les afficher publiquement sur le site. Pour ne pas solliciter inutilement nos clients, on ne demande pas les avis à un an sur 100% des produits commandés. Dès que nous avons lu suffisamment d’avis pour comprendre les points d’amélioration sur un produit en particulier, nous arrêtons d’envoyer ces demandes d’avis.