Le boxer
Améliorations de la 2e génération :
- Ajustement du tableaux de mesures : plus large à la taille, plus serré au niveau de la fourche et la cuisse
- Retournement de la ceinture élastique pour éviter qu'elle ne s'effiloche sur le haut
- Impression du logo à l'intérieur par sérigraphie et non par transfert pour plus de durabilité
Grâce à la finesse du coton (bio) égyptien et à la texture de la ceinture élastique (fabriquée en France), ce boxer est super doux. Mais aussi résistant : pour retarder l'apparition des trous, on a utilisé un fil double-retors – deux fils enroulés entre eux comme pour faire un câble. Pour le reste, pas de surprise : une coupe ultra-classique, des coutures plates pour minimiser les frottements, pas d’étiquette qui gratte… Ce n’est pas pour rien que ce boxer est notre best-seller, porté et validé par des milliers de clients depuis 2020.
Pour en savoir plus, lisez cet article.
Détails techniques
- Tissu 96% coton biologique certifié GOTS, 4% élasthanne
- Poids 220g/m2
- Bande élastique : 69% polyamide texturé avec technologie Airtex, 19% polyester, 12% élasthanne
- Fil double retors pour retarder l'apparition de trous à l'entrejambe
- Coton égyptien : ses fibres très fines le rendent particulièrement doux
- Prélavage en usine pour éviter le rétrécissement chez vous
- Tissu et élastique certifiés OEKO-TEX® sans substances nocives pour la santé
Pour tout savoir, lisez cet article.
Pays de fabrication
Pour ne pas vous noyer sous les informations, on ne met ici que les usines des 5 principales étapes de fabrication d'un vêtement : matières premières, filature, tissage/tricotage, teinture/finissage, confection.
> En savoir plus sur nos usines
- Tricot, teinture et confection : Portugal
- Ceinture élastique : France
- Coton et filature: Egypte
Pourquoi fabriquer au Portugal et pas en France ?
Bien sûr, produire au Portugal nous permet de vendre moins cher. Mais c’est aussi plus facile d'y faire de la bonne qualité : dans les années 80 quand la France a délocalisé son industrie, le Portugal a renforcé la sienne. Il n'empêche que d’autres que nous arrivent à faire du 100% made in France, comme Le Slip Français.
Pourquoi le coton vient de si loin ?
En réalité, c’est difficile de faire plus près. Si quelques irréductibles Gaulois arrivent à en faire pousser dans leur champs, la culture du coton est marginale en Europe. Les endroits les plus proches où on peut s’approvisionner sont l’Egypte, la Turquie et la Grèce.
Comment ce produit va vieillir
Comment on le sait ? On demande à nos clients et clientes leur avis sur le produit un an après l'achat. Et si le produit a moins d'un an, on vous donne nos prédictions grâce à certains retours spontanés et à notre expérience sur des produits similaires.
Le boxer restera en très bon état, se détendra très peu et ne trouera pas de sitôt (seule une petite poignée de clients nous ont remonté des trous après plusieurs années de porter).
Néanmoins, comme tous les vêtements en coton, il perdra légèrement en douceur et brillance avec les lavages.
Impact environnemental
Cet impact est calculé avec la méthode de l'affichage environnemental français (en cours d’expérimentation).
Le boxer a un coût environnemental de 291 points, selon la méthodologie officielle de l’affichage environnemental textile. C’est ce que sa fabrication “coûte” à la nature, quand on regarde son impact sur le changement climatique, l’acidification des océans, sa toxicité pour l’eau douce, etc.
Par comparaison, un vêtement de poids équivalent, 100% coton conventionnel, fabriqué au Bangladesh et vendu par une marque de fast fashion, a un coût environnemental de 898 points.
Pourquoi cette différence ? Voici les principales raisons :
- Les pays de production : fabriquer au Portugal ou en France nécessite moins d’énergies fossiles qu’au Bangladesh (un des principaux pays producteurs de vêtements low cost). Résultat : cette fabrication plus locale limite les impacts sur le changement climatique, l’acidification des océans ou l’épuisement des ressources.
- La matière : le coton bio a un impact environnemental assez faible comparé à la matière coton conventionnel, notamment car il utilise peu de pesticides (donc faible toxicité pour l’eau douce) et qu’il est biodégradable (donc moins de problématiques de micro-fibres ou de déchets en fin de vie).
- La durabilité : les enseignes de fast fashion incitent à l’achat notamment en renouvelant très rapidement leurs collections et en proposant de très nombreuses références, et elles découragent de réparer en pratiquant des prix dérisoires. Cela augmente donc le nombre de vêtements vendus par personne et diminue le nombre de fois où un vêtement est porté. À l’inverse, chez Loom, nous avons choisi d’avoir des pratiques commerciales qui encouragent nos clients et clientes à garder leurs vêtements le plus longtemps possible.
- Les invendus : en France, les enseignes de mode ont en moyenne 4% d’invendus (source ADEME). Comme nous ne renouvelons pas nos collections, nous n’en avons quasiment pas.
Même si on a tout fait pour qu’il soit le plus faible possible, l’impact environnemental de ce produit n’est pas négligeable. Donc avant d’acheter, faites durer vos vêtements le plus longtemps possible.
Calcul effectué par Loom le 02/12/2024 sur l'outil Ecobalyse. Cliquez sur les liens ci-dessus pour accéder aux simulations et avoir plus de détails sur les hypothèses retenues.
01.
Pas de trous avant longtemps
Pour tricoter ce boxer, on a retordu deux fils entre eux comme pour faire un câble (c’est ça qu’on appelle “double-retors”). Les trous mettent donc plus de temps à apparaître dans les zones de frottement (i.e à l’entrejambe). Pour en être certain, on a testé cette “résistance à l’abrasion” en laboratoire et notre boxer a obtenu les meilleures notes : rupture à 35 000 cycles vs. 20 à 30 000 cycles pour les autres boxers en coton bio testés.
02.
Doux comme de la soie
Le coton de Gizeh, c’est la crème de la crème du coton égyptien (0,4% de la production du pays). Sa particularité : des fibres très longues (plus de 3,6 cm quand la moyenne est de 2,5 cm) pour la résistance et très fines pour la douceur.
03.
Le confort d'abord
On a mis des coutures plates partout pour minimiser les frottements. Au niveau de l’entrejambe, on a ajouté un “gousset” - une pièce de tissu rectangulaire entre l’avant et l’arrière du boxer qui évite de se sentir trop serré. Et on a supprimé cette fichue étiquette qui gratte toujours pile en bas du dos.
04.
Une ceinture élastique très douce
Notre ceinture élastique a trois avantages : elle est très résistante (on l’a testée), elle est douce (le fil de polyamide est texturé pour lui donner un toucher duveteux) et elle est faite en France (on est champions, on est tous ensemble).
05.
C'est beau, c'est bio
Le gros problème écologique du coton dit "conventionnel", c'est qu'on utilise pour sa culture énormément de pesticides et engrais de synthèse, un drame pour la biodiversité et les agriculteurs. Ce boxer lui est fait en coton bio certifié GOTS, cultivé en agriculture biologique. On s’est aussi assuré qu'il soit inoffensif pour votre peau : le tissu est certifié OEKO-TEX et on le lave avant de vous l’envoyer.
Nous publions tous les avis, qu’ils soient bons ou moins bons.
Quand demandez-vous des avis aux clients ?
On vous envoie une demande d’avis un mois après la réception de votre commande. On estime que c’est le minimum de temps nécessaire pour avoir porté et lavé un vêtement plusieurs fois et se faire vraiment un avis éclairé. Ensuite, tous vos avis sont publiés dans la semaine, qu’ils soient bons ou non.
Est-ce que vous demandez des avis sur 100% des produits commandés par les clients ?
On le faisait au début, puis on s’est rendu compte qu’on commençait à envoyer beaucoup trop d’emails à certaines personnes qui achètent régulièrement chez nous. Bref, on spammait un peu. En plus, ça commençait à nous prendre vraiment beaucoup trop de temps dans l’équipe de répondre aux avis - puisqu'on veut répondre individuellement en privé à presque chaque personne qui nous laisse un avis. Aujourd’hui, on ne demande plus d’avis sur les produits qui répondent aux deux critères suivants : 1/ Il y a suffisamment d’avis affichés sur le site pour que les personnes qui souhaitent acheter puissent se faire une opinion éclairée sur le produit 2/ Nous avons lu dans l’équipe Loom suffisamment d’avis pour comprendre comment faire évoluer le produit à la prochaine génération.
Minute papillon : qu’est-ce qui prouve qu’on ne modifie pas les avis en mettant des 5 étoiles partout ?
Honnêtement : rien, on vous donne juste notre parole. Comme pour le reste d’ailleurs : où on fabrique, d’où vient notre laine, la note de nos tests labos, etc. Les seules fois où on pourrait toucher à ce que vous écrivez, c’est si votre message contient des fautes d’orthographe (et encore y en a pas mal qui nous échappent) ou s’il est à caractère raciste, homophobe, etc (mais ça n’est jamais arrivé pour l’instant).
Demander un avis au bout d’un mois, ce n’est pas assez pour savoir si les vêtements sont vraiment durables, non ?
Vous avez raison, c’est pour ça que depuis mi-2020, on vous repose la question un an après votre achat, en vous demandant même une photo pour voir comment votre vêtement a vieilli. Pour l’instant, ces infos nous servent seulement à améliorer nos vêtements pour la prochaine génération, mais nous comptons bientôt les afficher publiquement sur le site. Pour ne pas solliciter inutilement nos clients, on ne demande pas les avis à un an sur 100% des produits commandés. Dès que nous avons lu suffisamment d’avis pour comprendre les points d’amélioration sur un produit en particulier, nous arrêtons d’envoyer ces demandes d’avis.